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Le Valais romand veut mieux recycler ses déchets alimentaires

L’UTO emboîte le pas de la Satom pour mieux gérer les restes alimentaires. Des points de collecte 2.0 devraient fleurir un peu partout à travers le Valais romand.

16 déc. 2019, 15:41
Daniel Baillifard (à gauche) et Bertrand Yerly ont signé un partenariat pour mieux valoriser les déchets alimentaires.

En matière de déchets alimentaires, le Valais doit «se mettre en phase avec la loi». Bertrand Yerly, directeur de l’UTO, a présenté à la presse ce lundi une solution pour répondre aux exigences de l’OLED (ordonnance sur la limitation et l’élimination des déchets).

L’usine de traitement des ordures du Valais central a signé un partenariat avec la Satom de Monthey qui a développé le système intelligent de collecte des déchets alimentaires GastroVert. Dès 2020, si elles le souhaitent, les 31 communes partenaires de l’UTO pourront recourir à ce service. Dans le Chablais, 18 municipalités ont d’ores et déjà sauté le pas.

Le Valais doit se mettre en phase avec la loi.
Bertand Yerly, directeur de l’UTO

Quelque 10 000 tonnes de restes ont ainsi été valorisées entre 2018 et 2019. «C’est un résultat surprenant, c’est presque le double de ce que l’on imaginait», s’enthousiasme Daniel Baillifard, directeur de la...

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