Les déchets verts, ça peut vite tourner à la galère. Parce qu’un monticule de restes et d’épluchures, c’est un peu plus instable qu’une canette d’alu niveau odeur et invasion d’indésirables. Et aussi parce que si des solutions existent dans certaines communes, notamment à Sion avec un ramassage organisé chaque semaine par la Ville, pour d’autres c’est le système D qui prévaut.
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Dans la famille Vaquin, on a opté pour le lombricomposteur un peu avant l’introduction de la taxe au sac. L’idée de transformer des «vulgaires» restes en compost a séduit les parents tandis que les enfants étaient impatients d’adopter des trucs gluants. Un petit détour à Ollon dans une lombriculture et le tour était joué. On précise d’emblée qu’à plus de 300 francs l’engin, soit l’équivalent de 157 sacs de 35 litres,...