«Gnüeg ischt gnuëg». Les Haut-Valaisans le soupirent quand «trop c’est trop!» Le constituant Gerhard Schmid l’a écrit dans la tribune du «Walliser Bote», dans laquelle il explique pourquoi il quitte un parti dont il était membre depuis 48 ans. Pourquoi il ne se reconnaît plus parmi les PDC noirs (CVPO). S’il ne cite pas nommément Beat Rieder, ses critiques semblent viser entre autre le sénateur. «Ces derniers mois, les hautes instances de mon parti n’ont pas arrêté de dépeindre une situation apocalyptique. Si la loi sur la chasse était refusée; si le PDC perdait son C ou sa majorité absolue au Conseil d’Etat; si l’initiative pour des entreprises responsables était acceptée.»
«Propos populistes dignes de l’UDC»
Pour l’élu de 73 ans, «ces propos populistes sont dignes de l’UDC». Il claque donc la porte du CVPO, mais reste membre de la constituante. Il ne reproche rien à ses collègues de l’assemblée,...