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Vincent Pellissier: «Ce viaduc est emblématique des constructions des années 60-70»

Vincent Pellissier, le chef du service de la mobilité, revient sur la décision d’interdire le viaduc de Riddes aux poids lourds depuis lundi après-midi. Une décision qui pourrait déboucher, dans trois semaines, sur la fermeture du pont. Explications.

08 juil. 2019, 17:00 / Màj. le 08 juil. 2019 à 18:30
Vincent Pellissier, chef du service de la mobilité. Sacha Bittel / Le Nouvelliste

Depuis lundi à 15 heures, le viaduc de Riddes est interdit aux poids lourds. La raison? Des détériorations plus importantes que prévu constatées lors des contrôles liés aux travaux actuels de réfection de l’A9. Après avoir donné une première interdiction le 24 juin pour les plus de 40 tonnes, Vincent Pellissier, chef du service de la mobilité, explique pourquoi cette nouvelle décision était nécessaire et évoque les enjeux à court et long terme concernant ce pont.

Vincent Pellissier, suite à des premiers contrôles ordinaires de sécurité, vous interdisez le viaduc de Riddes aux poids lourds. Est-ce grave docteur?

Nous avons analysé l’une des parties du viaduc dans le cadre des rénovations de l’A9 et nous avons constaté des détériorations plus importantes que prévu, notamment au niveau des câbles tendus dans le béton. Nous allons donc évidemment contrôler les autres parties de l’ouvrage, mais en attendant, de manière préventive, nous interdisons...

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