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A la Foire du Valais, Vincent Pellissier et Alain Barbey disent leurs vérités sur la mobilité

A la Foire du Valais, Vincent Pellissier, chef de la mobilité de l’Etat du Valais, et Alain Barbey, directeur des CFF pour la Suisse romande, ont répondu à une interview croisée pour éclairer notre thématique «Mobilité». Ils ne sont pas toujours d’accord.

06 oct. 2019, 12:00
Alain Barbey, coordinateur régional CFF Suisse romande, et Vincent Pellissier, chef du Service cantonal de la mobilité, ont débattu sur le stand du «Nouvelliste» à la Foire du Valais.

L’un est Monsieur Mobilité pour le Valais, l’autre patron des CFF pour la Suisse romande. Installés côte à côte sur le stand du «Nouvelliste» de la Foire du Valais, Vincent Pellissier et Alain Barbey ont chacun répondu à sept de nos questions «oui-non» sur des problématiques liées à la mobilité dans le canton. Sur plusieurs d’entre elles, leurs avis divergent. Interview.

Les retards des trains CFF sont aujourd’hui trop nombreux et durent trop longtemps?

Vincent Pellissier: Je suis d’accord pour ne pas baisser ce degré d’exigence. Mais il faut aussi être capable parfois de relativiser un retard de train.

Alain Barbey: Malheureusement, oui, mais ils s’expliquent en Suisse romande par d’énormes travaux entrepris pour améliorer le réseau. Nous faisons tout notre possible pour les limiter au maximum. En Suisse, la notion de retard se situe à trois minutes contre par exemple dix en France. Mais nous devons garder cette...

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