Elle paraît lointaine l’époque où les Haut-Valaisans passaient pour plus progressistes que les francophones. Et pourtant. En 2005, la partie germanophone du canton avait davantage soutenu le partenariat enregistré que le Valais romand.
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On se demande donc ce qui a pu changer en quinze ans pour que le Haut refuse à 50,5% la loi contre l’homophobie, acceptée chez nous à 67%.
Même si 40% des communes du Haut ont voté comme le Bas et qu’à 230 voix près sur 25 000, il disait aussi oui, on ne peut pas s’empêcher de repenser à ces fois où le Haut s’est distingué par son conservatisme.
Plus favorable aux juges étrangers que le Bas
Dimanche, Mathias Reynard a cité l’exemple de sa récente défaite face à la PDC Marianne Maret, lors du scrutin pour le...