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Interview "Haut/Bas": Deux politiciennes évoquent leur expérience de minoritaire

La conseillère d'Etat haut-valaisanne Esther Waeber Kalbermatten vit la relation entre le Haut et le Valais romand depuis Sion, la ocnseillère nationale bas-valaisanne Géraldine Marchand Balet depuis Berne. Interview croisée.

05 août 2019, 05:30
L'interview croisée de deux politiciennes qui vivent la relation entre le Haut et le Valais romand comme minoritaire

Quel est votre niveau de français/allemand?

Géraldine Marchand-Balet:
Bien meilleur depuis que je siège à Berne, mais perfectible. Je suis persuadée que les échanges linguistiques sont l'outil le plus adapté pour maîtriser une langue. Le Conseil national partage d'ailleurs cet avis puisqu'il a accepté ma motion destinée à financer de tels échanges lors de la scolarité. Le Conseil fédéral va investir 10 millions supplémentaires dans ce sens durant les prochaines années.

Esther Waeber-Kalbermatten: Je comprends très bien le français. Je souhaiterais toutefois pouvoir améliorer mon expression orale.


Pour vous, le Valais romand/Haut-Valais, c’est…?

Géraldine Marchand-Balet: Notre porte d'entrée privilégiée vers la Berne fédérale et la Suisse alémanique. En outre, j'y ressens la fierté de ses habitants d'être valaisans.

Esther Waeber-Kalbermatten: Un seul canton avec une richesse culturelle, des paysages extraordinaires et des personnes authentiques.


Une découverte outre-Raspille à conseiller?

Géraldine Marchand-Balet: Une sortie à vélo électrique vers Saas-Grund, depuis le...

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