Depuis des années, la Banque cantonale du Valais enregistre un résultat record après l'autre. Grâce notamment à Jean-Daniel Papilloud. Au début des années 1990, l'ancien directeur général, puis président du conseil d'administration, a repris une institution financière en crise et l'a mise à niveau. Son succès est tel qu'il devient intouchable – «la Banque, c'est moi».
La semaine dernière, le «Walliser Bote» a révélé les méthodes utilisées par le roi des banques pour obtenir le prêt de 90 millions pour son ami d’Alkopharma. Mais ce n'est qu'un aspect de l'histoire. Car la perte de 22 millions d'impôts et de dividendes qui en a résulté n'a eu de conséquences que pour le canton, l'actionnaire majoritaire, et donc pour tous les Valaisans et Valaisannes. Les responsables, par contre, s'en sont sortis indemnes. Certains ont même bénéficié des conséquences. Ce qui nous amène dans le Haut-Valais.
Ainsi, les chrétiens-sociaux du Haut ont ouvert...
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Des Papilloud Papers à Provins. Par David Biner
Deux fois par mois, le Walliser Bote tient chronique dans le Nouvelliste pour permettre de mieux comprendre la réalité et les enjeux haut-valaisans.
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