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La littérature valaisanne en mode introspection

Une crise et les repères se brouillent. Les certitudes perdent de leur évidence. La littérature n’est pas épargnée par cette remise en question. Le moment semble opportun de se demander s’il y aou non une littérature valaisanne. Notre dossier.

23 juin 2020, 20:00
Le monde littéraire valaisan - ici exposé au Salon du livre de Genève en 2018 - est très actif. Mais y a-t-il réellement une identité cantonale liée à l'écriture?

Maurice Zermatten, Pierrette Micheloud, Germain Clavien et Jean-Marc Lovay. Quatre plumes qui ont marqué le Valais à leur façon. En 1981, dans l’écrin de la Fondation Pierre Gianadda à Martigny, les auteurs débattaient déjà de la question: y a-t-il une littérature valaisanne? Etre valaisan a-t-il une signification pour eux? Le lien au territoire se traduit-il dans leur écriture? Comment se sont-ils sentis accueillis dans leur canton d’origine? Quelques exemples de questions que leur a soumises la journaliste de feu la TSR Irène Lichtenstein au cours d’une table ronde filmée.

Près de quarante ans après, l’interrogation est toujours aussi pertinente et taraudante. Une nouvelle génération d’écrivains a vu le jour dans le canton, de quoi vivifier le débat. On se propose de l’ouvrir à l’aune des réflexions de plusieurs personnages plus ou moins proches des lettres valaisannes, comme Simon Roth (éditeur), Yves Gaudin (auteur récemment publié à Paris), Pierre-André Milhit, président...

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