Le street art est-il vraiment une invention contemporaine? Les graffitis, de simples exutoires d’artistes anticonformistes en mal de reconnaissance? Ou servent-ils à démocratiser un propos plus grand et universel? L’art urbain dégrade-t-il les bâtiments, comme le veut la croyance populaire, ou pourrait-il, au contraire, mettre en valeur les lieux sur lesquels il se greffe? Les embellir au point de faire rayonner une région, artistiquement d’abord, puis touristiquement, et donc, au final, économiquement parlant? Issam Rezgui, artiste et président de l’association Art Valais Wallis, en est convaincu: l’art urbain peut relancer l’attrait culturel du canton.
Ce sujet se retrouve dans notre prochain supplément « Culture». Le magazine, dans son entièreté, peut être consulté gratuitement en ligne à partir du 9 octobre, en cliquant sur la couverture au bas de l’article.
Il y a vingt ans, soucieux de pouvoir bénéficier de lieux d’expression sur lesquels laisser parler sa créativité, et...