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«Si même Jean-Pierre saoule». Le grain de sel d’Alexia Philippoz

18 sept. 2020, 20:00
Alexia Philippoz, cheffe d'édition numérique.

Trente-trois ans sans prompteur. Des milliers de bonjour. Des millions de téléspectateurs. Et bientôt un dernier au revoir. Décidément, 2020 n’en finit pas avec ses annonces coup de massue. Dès janvier prochain, terminés les rendez-vous à 13 heures tapantes avec celui qui incarne le terroir, la proximité, les belles actions, les histoires tendres sur la première chaîne française. Un tsunami émotionnel pour les fans de Jean-Pierre.

Sans en être, j’avoue que j’apprécie sa constante allégresse, qu’il vende des cartes postales de bleds d’ailleurs ou d’ici, qu’il sublime les marchés de campagne ou qu’il redonne vie aux métiers d’antan. Ses invitations au voyage, à la découverte du joyeux et de la simplicité offrent un bol d’air salvateur au-dessus de l’actualité sombre qui tourbillonne. Jean-Pierre, c’est comme une couche de miel sur une tartine au beurre local.

Mais Pernaut ne plaît pas à tout le monde. Sitôt le choix du présentateur communiqué mardi sur Facebook, un internaute a dégainé: «ENFIN!…. Espérons que les infos ne se limiteront plus aux pets de vaches de la France profonde!» C’est vrai que par les temps qui courent, on reprendrait bien une petite tranche de Covid-19, non?

 

 

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