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Le Tour de France, un grand cirque où l’on vient aussi pour être vu

Trop de monde, trop de caméras, trop proche, trop d’excitation, le Tour de France est devenu trop populaire pour échapper à une certaine normalité. Dans cette foire à ciel ouvert, l’accident est devenu une composante inévitable. La chronique de Christophe Spahr, responsable des sports au «Nouvelliste».

28 juin 2021, 19:00
Christophe Spahr, responsable des sports au Nouvelliste.

Tennis: Roger Federer et la surface la plus aléatoire

On ne va pas se mentir. Il n’y a aujourd’hui pas davantage de certitudes, autour de Roger Federer, qu’il y en avait voilà un mois. Paradoxalement, même si le gazon est évidemment son meilleur terrain de jeu, là où son tennis s’exprime le mieux, c’est aussi la surface la plus aléatoire. A Roland-Garros, en cinq sets, il fallait mieux jouer que lui pendant deux, trois, peut-être quatre heures pour le battre. A Wimbledon, il est possible de quitter le tournoi après trois tie-breaks, de tomber face à un gros serveur en feu, ce jour-là, ou quelques points mal négociés. Un mauvais jeu de service, une double faute, un mauvais rebond et c’est un set qui fout le camp. A Londres, le droit à l’erreur, au coup de mou, est quasi interdit face à des gros serveurs. Or, il n’en manque pas...

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