Dans le sport, pour parvenir à un résultat, la condition physique est capitale, mais le mental l’est tout autant. Parlons de notre pilote moto Thomas Lüthi: à 34 ans, il n’est certes plus au début de sa carrière, mais il lui reste encore quelques années pour rivaliser au plus haut niveau.
Au début de l’an passé, en réintégrant sa catégorie fétiche (Moto2), il alignait les meilleurs temps durant les essais, ce qui laissait entrevoir une saison magnifique, couronnée d’un éventuel titre mondial.
Mais voilà, les compétitions ne se déroulent pas comme prévu, en raison de quelques chutes, engendrant de premiers résultats mitigés. Dès lors s’installe dans le team doute et animosité. Le pilote en attribue la responsabilité aux mécaniciens et préparateurs, qui le lui rendent bien. Sans parler des sponsors et investisseurs qui ne se retrouvent pas dans leurs engagements financiers.
Dans de telles conditions, cela ne vaut même pas...