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La chronique de Jacques Cornu: "Mais où sont donc passées mes copines?"

L’ancien pilote de Grand Prix Jacques Cornu se livre dans sa chronique sur le rapport particulier qu'entretient un pilote avec "sa monture."

27 mai 2021, 19:00
10 eme Retro Moto Internationale Saint-Cergue le 15 juin 2019. Jacques Cornu.
©Christian BONZON

En dix-sept ans de compétition, j’en ai eu des copines, évidemment! Et même parfois deux en même temps! Qu’est-ce que je les ai admirées! Je les ai regardées avec passion, je les ai respectées, je les ai soignées, dorlotées, bichonnées. Je leur parlais avec complicité, je les remerciais pour ce qu’elles m’apportaient. Avant de les quitter le soir, je leur souhaitais «bonne nuit, mes belles».

Mais attention, ne vous y trompez pas: je parle bien sûr de toutes les motos qui m’ont permis de parvenir à mes, nos, résultats. Eh oui, la plupart des pilotes ont une relation particulière et fusionnelle avec leurs montures.

Vous avez certainement vu Valentino Rossi, après avoir gagné une course, embrasser sa moto. Non, ce n’est pas pour le show, mais effectivement un geste de reconnaissance envers celle qui lui a permis d’arriver le premier.

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