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Il suffirait d’une étincelle. Dans le viseur de Bertrand Crittin

05 juin 2021, 05:30
Bertrand Crittin, rédacteur en chef adjoint, «Le Nouvelliste».

Il est des signes qui ne trompent pas. La preuve en deux exemples pour l’inconditionnel de football que je suis. 1. Je ne connais pas précisément la date du match d’ouverture de l’Eurofoot (Google est mon ami, vendredi 11 juin, 21 heures, Turquie-Italie). 2. Mon album Panini compte précisément 154 cases blanches à quelques jours seulement de cette grand-messe footballistique qui va durer un mois. Je ne me suis même pas énervé quand mon garçon a collé Viktor Claessen (No 556) sur l’emplacement réservé à Ludwig Augustinsson (No 555).

Voilà, le cœur n’y est pas (encore), alors qu’on devrait pourtant se réjouir. La pandémie recule à mesure que la vaccination avance en Europe, si bien que les stades pourront accueillir de nouveau des spectateurs. Pourquoi ce manque d’engouement?

Jouer une grande compétition de football une année impaire, c’est psychologiquement difficile à accepter. Qu’en pensent les fans des Jeux olympiques? Tokyo...

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