Des dizaines de photos ou d’images l’ont démontré. Au début de l’automne, avant l’augmentation exponentielle du nombre de cas en Valais, les gestes barrières n’ont plus été respectés. Parce que le nombre d’infections était resté très bas. Parce que le caractère latin du Valaisan francophone est une réalité difficile à toujours gommer. Parce que la plupart d’entre nous en avions marre de cette situation. Et parce que plusieurs événements –certainement de trop grande ampleur – nous permettaient de nouveau de croire en une vie normale. Même les politiques lors du week-end d’élections communales n’ont pas réussi à montrer l’exemple. A droite comme à gauche.
L’arrivée soudaine du froid a paradoxalement mis le feu à une poudrière certainement plus dense qu’ailleurs et compliquée à maîtriser. Un dépistage systématique a même démontré un nombre de cas asymptomatiques élevé dans les EMS, le lieu désormais le plus touché par cette deuxième vague du...