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200 000 lectrices et lecteurs et toi et moi et nous. Le Grain de sel d’Alexia Philippoz

09 avr. 2021, 20:00
Alexia Philippoz, cheffe d'édition numérique.

Voilà un peu plus d’un an qu’il est entré dans nos vies perturbant nos esprits gavés de chiffres statistiques, créant un ascenseur émotionnel où s’entremêlent inquiétudes, résignation, espoir, déception et lassitude. Une année à n’en plus finir. Et des milliers d’articles, plus de 3600, consacrés au Covid-19. 

Trop, gronderont certains. Pas assez, supplieront d’autres. Et plus grave, «de la pure intox» balanceront quelques observateurs, artilleurs à leurs heures, qualifiant tout à tour les journalistes de suppôts de Satan inféodés au pouvoir, de moule à gaufres, flibustiers ou autres hurluberlus, mais qu’on se comprenne bien, dans leur version trash hein!

Certes, travailler sur cette matière nouvelle qui le devient de moins en moins est un sacré défi. Ça tombe bien, on adore ça. Vous tenir informés de l’évolution de la pandémie dans le monde, mais surtout ici, tout près de chez vous, fait partie de notre devoir d’information. Entre avril et juin 2020, durant la première vague, «Le Nouvelliste» a dépassé les 200 000 lectrices et lecteurs, une audience record de son histoire, selon les statistiques de la REMP. Révélateur d’un besoin vital de se rancarder sur le Covid? J’entends déjà des voix s’élever: «Oh! Aux chiffres, on peut leur faire dire n’importe quoi.»

 

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