Nico Hischier, en temps normal, vous seriez aux Etats-Unis à dix jours de la reprise. Or vous êtes toujours en Suisse où vous êtes rentré début avril. A quel point cette situation est-elle délicate à gérer?
C’est une situation unique et spéciale. Mais j’essaie de prendre son côté positif. J’ai pu profiter de cette longue période pour passer énormément de temps avec ma famille et mes amis que ce soit en Valais ou à Berne. Ces derniers mois m’ont aussi permis de vraiment bien me préparer physiquement en vue de la nouvelle saison. Sans oublier que j’ai pu accomplir mon école de recrues qui s’est terminée le 14 août. Là aussi, j’ai pu vivre quelque chose de nouveau, faire de nouvelles connaissances, tout en poursuivant ma préparation.
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Mais le temps doit commencer à devenir long, non?
Bien sûr. Je préférerais être...