La ville de Sion sur le toit de la préhistoire européenne. La découverte d’un dolmen, sur le site de Don Bosco, assoit un peu plus la renommée de la capitale valaisanne comme la référence suprême en matière d’étude de la préhistoire européenne.
Avec les stèles gravées du Petit-Chasseur, les traces de labour aux Arsenaux ou encore le dolmen et le guerrier sur le site de Don Bosco, Sion fait fi de toute concurrence. «Il n’y a pas un archéologue ou ethnologue de la préhistoire qui ne sait pas où Sion se situe sur la carte du monde», résume l’archéologue Philippe Curdy.
Le guerrier de Don Bosco. © Heloïse Maret
Chaque année, le Service des bâtiments, monuments et archéologie reçoit du monde entier des demandes d’études et d’analyses relatives au Petit-Chasseur. «Depuis sa...