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Seule ombre au tableau: l’attaque tique

Seferovic en passe d’être délogé, Zuber et Dzemaili décevants: la Suisse devra incontestablement faire mieux devant pour ne pas vivre de mauvaise surprise.

27 juin 2018, 00:01
Switzerland's forward Mario Gavranovic, left, and Switzerland's defender Stephan Lichtsteiner, right, smile during a training session on the eve of the FIFA World Cup 2018 group E preliminary round soccer match between Switzerland and Costa Rica at the Nizhny Novgorod Stadium, in Nizhny Novgorod, Russia, Tuesday, June 26, 2018. (KEYSTONE/Laurent Gillieron) RUSSIA SOCCER FIFA WORLD CUP 2018 SWITZERLAND

Avec l’énorme remue-ménage extra-sportif dont l’épilogue vient d’avoir lieu, on aurait presque oublié le succès à haute valeur ajoutée de l’équipe de Suisse aux dépens de la Serbie, vendredi dernier. Un match émotionnel – on l’a vu – composé de deux mi-temps au contenu très inégal. Apathiques et «mangés» physiquement en première mi-temps, entreprenants et convaincants après la pause: les protégés de Vladimir Petkovic ont, comme trop souvent ces deux dernières années (Roumanie, Pologne, Espagne, Brésil), peiné à l’allumage avant de revenir grâce à ce caractère dont ils font gentiment leur marque de fabrique. «Il faut que l’on arrête de jouer avec le feu. Marquer en premier, doubler la mise et l’emporter, ce serait bien aussi», sourit Gelson Fernandes.

Puissent les sages paroles du Valaisan être entendues ce soir déjà, même si face au Costa Rica, qu’elle affronte pour le compte de son dernier match de poule, à Nijni...

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