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Citoyennes et citoyens, à vos claviers! Par Amélie Nappey-Barreil

04 oct. 2020, 21:00
Amélie Nappey-Barrail, cybercoach.

Les réseaux sociaux ont changé beaucoup de choses. En bien ou en mal, chacun se fera son opinion. Mais, comme souvent, rien n’est tout noir ou tout blanc. Longtemps confiné au café du Commerce, le débat s’est ouvert. Aujourd’hui, la place publique est souvent numérique. D’une certaine manière, ces plateformes peuvent être des catalyseurs de démocratie. Preuve en est leur interdiction ou restriction dans la plupart des pays vivant sous une dictature.

Si ces réseaux rapprochent les gens, ils permettent aussi un discours haineux sans complexe. Derrière leurs écrans, les rois du propos raciste, antisémite, misogyne et j’en passe se défoulent grâce à leur bouclier numérique. En février 2020, le rapporteur spécial sur les questions relatives aux minorités de l’ONU Fernand de Varennes s’inquiétait de la propagation du discours haineux contre les minorités sur les plateformes sociales. Que faire? Si un cadre légal est nécessaire, son établissement prend du temps,...

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