«Hors pandémie, nous enregistrons en moyenne 400 véhicules par jour sur le col du Grand-Saint-Bernard en semaine, et jusqu’à 1200 voitures durant les week-ends», affirme Frédéric Moulin, voyer du secteur. A partir du 4 juin, tous ces touristes et badauds pourront de nouveau emprunter la route sinueuse menant vers l’Italie. Après un mois d’efforts, l’équipe de Frédéric Moulin finit de retirer au tronçon son manteau hivernal.
«Nous avons eu quelques difficultés avec la météo du mois de mai, car plus d’un mètre de neige est retombé depuis que nous avons commencé les travaux», explique encore le voyer. Le danger d’avalanche est aussi présent, causé par la hausse des températures et le sable du Sahara de février dernier. Découvrez en vidéo le travail effectué chaque année par les cantonniers.