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De Paolo Tramezzani à Raphaël Wicky

La chronique de Vincent Fragnière, rédacteur en chef du Nouvelliste.

28 sept. 2017, 21:56 / Màj. le 29 sept. 2017 à 05:30
Vincent Fragnière, rédacteur en chef.

Tramezzani I: la pression et les critiques
Tramezzani I: la pression et les critiques
Quand son président lui met la pression, Paolo Tramezzani décide de ne plus parler à la presse. Une méthode paraît-il courante en Italie, mais qui ne permet en tout cas pas de comprendre ses nombreux changements effectués jusqu’au match d’YB alors qu’il doit former une équipe entièrement nouvelle. C’est son droit, mais après il ne doit pas se plaindre des critiques émises sur cet aspect de son management. En boycottant la presse, il boycotte surtout la relation entre le club et ses supporters.

Tramezzani II: chouchou, mais pas sauvé
L’entraîneur du FC Sion a de la chance : il est le seul qui a pu amener son staff lors de son arrivée. Il a aussi eu -plus que tous les derniers entraîneurs- son mot à dire sur les transferts. Et il a échappé à la sanction...

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