Pays de Galles, Italie, Turquie. Depuis le 30 novembre 2019, la Nati connaît ses adversaires pour l’Euro 2021 – qui en ce temps-là était encore appelé à se jouer en 2020. Ce soir-là, Ruud Gullit, Philipp Lahm et Iker Casillas, préposés au tirage au sort, n’avaient pas donné l’impression d’épargner Vladimir Petkovic et ses hommes en les plaçant dans un groupe aussi relevé qu’indécis.
Cinquante-neuf jours plus tard, alors que la Turquie et l’Italie s’apprêtent à ouvrir le bal vendredi soir, l’impression est toujours la même: pour sortir de son groupe, la Suisse ne pourra pas se contenter de jouer, elle devra performer.
Alexandre Comisetti et Sébastien Fournier, anciens internationaux suisses, défrichent le terrain miné qui attend la Nati lors de cette phase de groupe.
Pays de Galles: un fort accent «british»
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