Quatre ans à lutter pour un droit plus libéral des armes et une grosse déconvenue le 19 mai dernier. Tout ça pour ça?
Ce combat que j’ai mené depuis des années, je vais de toute façon le poursuivre. Ce n’est pas le genre de la maison de se mettre au bord de la route et de pleurer en cas d’échec. Comme on dit dans ma commune, «Pa capona». Le monde ne s’est pas effondré le 19 mai. Mais nos libertés ont reculé. Je continuerai à me battre pour ces libertés et pour que tous ceux qui nous ont promis qu’on ne les rognerait pas davantage tiennent leurs promesses. Avec PROTELL, je m’engagerai pour défendre nos membres contre tout abus dans l’application de la nouvelle loi.
A lire aussi : Le bilan de mi-législature de Jean-Luc Addor
Armes, armée, migrations, UE, vous ne vous sentez pas un peu à l’étroit dans...