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Oskar Freysinger: "Ceux qui attendaient des miracles ont été déçus, oui"

Au tour d'Oskar Freysinger de passer à la question du Nouvelliste. Le ministre sortant revient sur son bilan et jure qu'il restera vice-président de l'UDC suisse tant que l'accord-cadre avec l'UE sera en pourpalers à Berne. "Il serait irresponsable de m'extraire du monde pour me limiter aux dossiers de mon département, alors que tout est lié", confie-t-il.

21 févr. 2017, 11:40
/ Màj. le 22 févr. 2017 à 06:30
Oskar Freysinger croit que les conservateurs seront, encore, là le 5 mars pour le soutenir.

A moins de deux semaines des élections cantonales, c'est au tour d'Oskar Freysinger, ministre UDC sortant, de répondre aux questions du Nouvelliste et à l'interrogatoire politique de son rédacteur en chef. Le Saviésan revient sur son bilan, qu'il juge bon, et s'explique sur la révolution conservatrice qu'il a entamée avec la création d'Ensemble à droite. "Etre conservateur n'est pas une insulte. Un conservateur est quelqu'un qui respecte ce qu'on fait ses ancêtres. Il n'y a pas d'avenir pour qui renie son passé". 

Un électorat semblable à 2013

Oskar Freysinger confie ne pas croire que certains progressistes ont voté pour lui il y a quatre ans. Et jure que les près de 57'000 électeurs qui lui ont donné leur voix en 2013 étaient des conservateurs. Le premier conseiller d'Etat UDC de l'histoire du Valais revient enfin sur la difficulté de son mandat. "Plus que pour les autres, tout ce que je fais est disséqué et analysé. 

Découvrez cet entretien ainsi que l'interrogatoire politique de Vincent Fragnière dans nos éditions papier et numériques du 22 février.

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