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Le Rassemblement Citoyen Valais exige la réintégration de Jean-Marie Bornet à son poste au sein de la police cantonale

Le Rassemblement Citoyen Valais est très remonté contre la non-réintégration de Jean-Marie Bornet à son poste de chef information et prévention de la police cantonale. Le RCV fustige l'attitude du gouvernement et exige la réhabilitation de son coprésident qui briguait un siège au Conseil d'Etat.

21 mars 2017, 16:27
Candidat au Conseil d'Etat pour le Rassemblement Citoyen Valais, Jean-Marie Bornet dit "vouloir consacrer son énergie, avec son avocat, à répondre aux critiques et interrogations formulées par le Conseil d’Etat actuel".

Le Rassemblement Citoyen Valais (RCV) est en colère. Dans un communiqué diffusé ce mardi après-midi, le parti coprésidé par Jean-Marie Bornet, crédité de 17389 voix au premier tour des élections au Conseil d’Eta estime que la non-réintégration du chef information et prévention de la police cantonale viole la liberté d’expression et les droits politiques du citoyen. Et le RCV d'insister: "Jean-Marie Bornet doit retrouver pleinement son poste et au plus vite".

Patrice Bigler, coprésident du RCV relève notamment la différence de traitement entre Jean-Marie Bornet et un autre employé d’Etat, Claude Pottier, le chef du service de la formation professionnelle, qui a pu lui reprendre le travail, en début de semaine. Et de rappeler qu’il y a quatre et après avoir croisé le fer contre Oskar Freysinger, Christian Varone, chef de la police avait pu, sans problème, réintégrer ses fonctions.

Pour rappel, Jean-Marie Bornet s’est vu signifier, lundi matin en se rendant à son travail, qu’il avait quitté le temps du congé devant lui permettre de faire campagne, qu’il était «libéré» de ses fonctions pour une durée indéterminée.

Retrouvez plusieurs réactions à cette "libération" dans nos édition papier et numérique de mercredi.

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