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Jean-Michel Bonvin: "Je suis un patron de gauche"

Sans langue de bois. Le candidat du parti chrétien social Jean-Michel Bonvin n'y va pas par quatre chemins. Ce profil atypique s'est lancé pour barrer la route à Ensemble à droite. Mais aussi pour y défendre des solutions plutôt originales. Il se pose en alternative.

17 févr. 2017, 13:55
/ Màj. le 19 févr. 2017 à 11:30
Jean-Michel Bonvin, candidat au Conseil d'Etat Centre Gauche PCS

"J'aime bien me battre dans une position stimulante de minoritaire". Jean-Michel Bonvin, candidat chrétien social sur la liste de l'Alliance de gauche en compagnie d'Esther Waeber-Kalbermatten et de Stéphane Rossini, n'en fait pas un mystère. Il a l'esprit de contradiction chevillé au corps. "Je ne vois pas d'intérêt à bêler avec tous les autres". Ce directeur d'une grande entreprise électrique romande développe donc des solutions originales pour aller de l'avant. Sans langue de bois. 

A chaque coup, ce chasseur de chamois fait mouche. Sur l’angélisme de gauche en matière de politique migratoire qu’il veut strictement contrôlée, sur la concordance erratique du gouvernement actuel, sur l’indispensable valorisation de l’hydroélectricité, sur les opportunités que constitue la LAT pour le canton. Tradition et progrès. Un vieux couple conflictuel difficile à rabibocher. Sauf pour Jean-Michel Bonvin.

Découvrez l'intégralité de cet entretien ainsi que l'interrogatoire politique dans nos édition papier et numériques du samedi 18 février 2017.

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