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La Raspille, c’est avant tout une barrière mentale

Après quatre jours dans le district de Loèche, il est l’heure du bilan pour nos journalistes Patrick Ferrari et Bertrand Girard. Partis direction Oberwallis, ils reviennent sur cette expérience.

24 juil. 2020, 20:00
On a immortalisé notre passage au-dessus de la Raspille.

La Raspille, c’est avant tout une barrière mentale. Une frontière que l’on ose à peine franchir pour des motifs qui, avec le recul, ne tiennent pas. Avant cette semaine de découvertes, notre expérience haut-valaisanne tenait en quelques lignes. Pour le Chablaisien de notre binôme, plusieurs matchs de basket à Brigue et un week-end à Zermatt.

Pour le Léonardin, des incursions plus fréquentes mais limitées. Deux ou trois soirées de carnaval, des concerts à Gampel, des soirées au Rothis après avoir sulfaté des chevilles sur les terrains de foot du Haut-Valais, sans oublier plusieurs journées de ski.

Des excuses trop faciles

Bien entendu, il y a l’excuse classique de la distance et du temps de trajet. Mais pour être franc, ce n’est pas une contrainte géographique qui nous a poussés à bouder si longtemps la partie germanophone du canton.

Pourquoi alors cet état de fait? Craint-on de ne pas pouvoir comprendre...

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