«Une société de village centenaire a besoin de votre aide.» Ce cri du cœur, c’est celui de la Rosablanche de Nendaz. Contrainte d’avoir dû repousser à deux reprises son festival en raison de la pandémie, la société de musique n’a toujours pas pu réunir les 185 000 francs nécessaires au paiement de son nouvel uniforme. Aujourd’hui, il lui manque 30 000 francs pour honorer la facture de son fournisseur.
Les musiciens mis à contribution
Pour tenter de combler ce vide, un groupe de travail composé de musiciens œuvre depuis ce printemps. «Comme nous avons dû revoir les ambitions de notre carnet de fête à la baisse en raison de la situation économique, nous devons trouver d’autres moyens pour payer ce nouveau costume. Depuis le début de l’année, nous avons par exemple pu récolter 25 000 francs auprès de notre club d’amis», explique Louis Fournier, responsable du groupe de travail.