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Pas d’union sacrée derrière le confinement strict

Une partie des médecins sont convaincus que la discipline des Suisses et les mesures prises sont suffisantes pour combattre le virus. Une association de généralistes en demande plus. Une partie des médecins sont convaincus que la discipline des Suisses et les mesures prises sont suffisantes pour combattre le virus. Une association de généralistes en demande plus.

26 mars 2020, 00:01
A statue of Freddie Mercury wearing a surgical mask and a sign "stay home" is pictured during the coronavirus disease (COVID-19) outbreak in Montreux, Switzerland, Monday, March 23, 2020. (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott) SWITZERLAND CORONAVIRUS OUTBREAK

Après la France et l’Italie, l’Inde a décrété, avant-hier, trois semaines de confinement total. Le but: enrayer la propagation du coronavirus. A l’inverse, au Royaume-Uni, la stratégie première a été celle de l’immunité collective. En laissant l’épidémie circuler, les autorités espéraient rendre la population résistante au virus. Revirement la semaine dernière: le premier ministre Boris Johnson a demandé à ses concitoyens d’éviter tout contact social et tout déplacement «non essentiel» et recommandé aux personnes âgées et aux femmes enceintes de s’isoler pendant trois mois.

Et en Suisse? Le Conseil fédéral a durci les règles, vendredi dernier, en limitant les contacts sociaux et en appelant les gens à rester autant que possible à la maison, sans pour autant proclamer un confinement général. Pourtant, les appels en ce sens se sont multipliés, à l’instar de la lettre ouverte de l’association des Jeunes médecins généralistes suisses adressée au gouvernement il y a...

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