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On ne peut plus lire les journaux au bistrot…pour l’instant

Depuis la réouverture des cafés-restaurants, on ne peut plus lire les journaux en buvant son p’tit noir. Une situation qui a suscité une levée de boucliers. Clients désappointés qui désertent les établissements. Patrons inquiets face à une perte supplémentaire de chiffre d’affaires. Editeurs face à une avalanche de suspensions d’abonnements… Et si on était allé trop vite? Des solutions se dessinent.

12 mai 2020, 19:02
13 MAI - COVID-19: PAS DE JOURNAUX DANS LES BISTROTS…

Bernard avait l’habitude d’aller prendre son café à l’Anniviers à Sierre. Olivier, c’était chez Rosana, au bar Rétro à Martigny, Pascal et Nathalie étaient des fidèles du Philosophe à Saint-Maurice. Tous avaient l’habitude de siroter leur petit noir en lisant les journaux du matin. Ça, c’était avant le coronavirus.

Avec les mesures de protection édictées par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP), les journaux ont disparu des comptoirs. Une tuile pour les bars à café comme pour l’ensemble de la presse qui a critiqué cette situation en début de semaine.

Un impact sur les cafés du matin

Depuis lundi, le patron de l’Anniviers – un café-restaurant où jusqu’à la mi-mars on pouvait lire «Le Nouvelliste» et le «Walliser Bote», mais aussi des journaux suisses et internationaux – ne peut plus miser sur cette offre pléthorique pour attirer les clients. Cette suppression des journaux a un réel impact sur son...

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