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Le coronablues des business men

L’Union suisse des arts et métiers réclame une stratégie de réouverture à valoir dès le 1er mars.

10 févr. 2021, 00:01 / Màj. le 10 févr. 2021 à 07:45
Angekettete Tische und Stuehle vor dem geschlossenen Restaurant KaBar in Basel, am Montag, 23. November 2020. Wegen der verschaerften Schutzmassnahmen gegen das Coronavirus bleiben u.a. die Restaurants im Kanton Basel-Stadt fuer vorlaeufig drei Wochen geschlossen. (KEYSTONE/Georgios Kefalas)

Après de nombreuses salves politiques ce week-end, en provenance du PLR en particulier, le ministre de la Santé Alain Berset a dû essuyer mardi de nouveaux tirs de missiles. Ils proviennent cette fois-ci des milieux économiques, l’Union suisse des arts et métiers (USAM) tenant une conférence de presse virtuelle. Les revendications sont fort similaires: l’USAM en a marre de voir le Conseil fédéral naviguer à vue dans le brouillard.

«L’économie suisse et le pays dans son ensemble ont besoin d’une perspective», a martelé son directeur Hans-Ulrich Bigler, selon le critère de prévisibilité si cher aux décideurs. Plus concrètement, la faîtière, qui représente près de 500000 PME, réclame une réouverture de l’économie et de la société, dans le respect des plans de protection, et ce dès le 1er mars. Une manière de mettre la pression sur le Conseil fédéral qui devrait se prononcer mercredi prochain sur les mesures sanitaires qui...

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