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Fermer les usines, un vrai casse-tête

L’arrêt des activités non essentielles pose des défis d’organisation et de coûts.

27 mars 2020, 00:01
ACHTUNG: ZU DEN BERICHTEN UEBER DEN UMSATZWACHSTUM DER SWISSMEM STELLEN WIR IHNEN DIESES ARCHIVBILD ZUR VERFUEGUNG --- Einblick in eine Laserstrahlmaschine, anlaesslich der Medienkonferenz der Conzetta Holding bei der Firma Bystronic Laser AG , am Montag 9. Oktober 2006 in Nideroenz (BE). Conzzeta ist eine an der SWX Swiss Exchange kotierte Industrieholding. Ihre Schwerpunkte liegen einerseits im Maschinen- und Anlagenbau, anderseits bei Industrie- und Konsumprodukten. (KEYSTONE/ Peter Schneider) SCHWEIZ SWISSMETAL ERFOLG

«Je ne peux pas imaginer un arrêt complet de la production industrielle en Suisse. Les conséquences seraient sévères», s’exprime Ronald Indergand. Le responsable de l’analyse conjoncturelle du Secrétariat d’Etat à l’économie (Seco) s’oppose à la proposition des syndicats – notamment Unia – de fermer les usines non essentielles, une mesure mise en œuvre au Tessin sur décision du Conseil d’Etat du 16 mars dernier et confirmée, depuis lors, en dépit de l’avis défavorable de l’Office fédéral de la justice.

Le Conseil fédéral est du reste appelé à rendre une décision sur cette question sans précédent dans sa séance d’aujourd’hui.

La question a été soulevée à la suite de la multiplication des plaintes d’employés, et même de cadres, d’entreprises mal préparées à affronter l’épidémie de Covid-19: distance sociale insuffisante entre employés pendant les opérations, mesures d’hygiène insatisfaisantes, etc. Née des inquiétudes concernant la sécurité sur les chantiers, elle s’est ensuite...

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