«Nous travaillons à flux tendu, tout le monde doit collaborer et tirer à la même corde.» Pour Victor Fournier, chef du Service de la santé publique (SSP), il faut se concentrer autour d’une vision d’un réseau hospitalier unique pour le Valais romand.
300 lits dans un premier temps
A (très) court terme, le canton cherche 300 lits supplémentaires pour accueillir les malades. «Tous les établissements hospitaliers sont sollicités, nous devons opérer une mise en commun des ressources», reprend-il. Parmi eux, on retrouve notamment la Clinique romande de réadaptation, la Clinique CIC Valais de Saxon ou la Clinique de Valère.
La situation reste toutefois très évolutive. «Nous travaillons sur différents scénarios, positifs ou négatifs. Nous élaborons également notre stratégie en concertation avec d’autres cantons», ajoute Victor Fournier.
Dans la situation sanitaire hors norme que nous vivons, la rédaction du «Nouvelliste» se mobilise afin d’accompagner ses lecteurs avec une information précise et fiable. Notre journalisme, professionnel et indépendant, ne bénéficie d’aucune subvention. Nous avons cependant choisi d’ouvrir en libre accès une grande partie de nos contenus touchant aux aspects essentiels et vitaux de cette crise.
Plus que jamais en cette période inédite, l’information a une valeur. Pour nous. Pour vous. Soyons solidaires autour d’elle. http://abo.lenouvelliste.ch