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Coronavirus: un Eddy Baillifard sans raclettes, sans restos et sans bisous, c’est un Eddy qui sourit malgré tout

Il aurait dû être partout ce printemps. A racler, plaisanter, serrer des mains, représenter le Valais. Le coronavirus lui a confisqué ses amours. Eddy Baillifard refuse de lui céder sa bonne humeur.

11 mai 2020, 12:00
Eddy Baillifard décide de semer des sourires même si la crise n'épargne pas ses activités favorites.

Dans le monde de l’inimaginable avant le coronavirus, il y a Eddy Baillifard qui ne racle pas. Un amoureux des gens et des reines qui ne va pas à la finale nationale de la race d’Hérens. Il y a un homme privé de son restaurant, de festivals, de mariages, d’événements sociaux et sportifs. De rencontres où porter fièrement sa casquette et son rôle d’ambassadeur de la raclette du Valais, d’un fromage dont on a même stoppé la production durant quinze jours. Dans le monde d’aujourd’hui, il en est pourtant là, Eddy.

Le choc du coup de frein

Persuadés qu’il doit avoir «en bas les feuilles» – comme il le formulerait volontiers – on grimpe donc à l’interview en se disant qu’on va lui remonter le moral. Tout de suite, il recadre: «Dans chaque situation, aussi cruelle soit-elle, il y a du bon à tirer.» Ouf, il n’a pas perdu son...

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