Les sports collectifs, depuis le 1er mars, ne sont plus égaux devant la pandémie. Les uns peuvent reprendre ou poursuivre la compétition, d’autres s’entraînent de nouveau normalement, sans la moindre restriction. Et il y a ceux qui ne sont toujours pas autorisés à organiser des séances collectives avec contacts.
En tennis, par exemple, les équipes interclubs de LNA, LNB et LNC ont été reconnues comme semi-professionnelles malgré un championnat extrêmement court – entre quatre et six matchs, généralement –, des budgets dérisoires et peu d’entraînements collectifs. «Le tennis est d’abord un sport individuel», rappelle Jean-Yves Rechenmann, capitaine du TC Monthey en LNC masculine. «D’ailleurs, nos joueurs s’entraînent la plupart du temps chacun de leur côté. En LNC, il y a toutefois des joueurs classés N...