Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Coronavirus: pourquoi les sports collectifs ne sont plus égaux devant la pandémie

Certaines disciplines et ligues sont considérées comme semi-professionnelles et peuvent désormais reprendre une activité normale. D’autres devront encore patienter.

11 mars 2021, 05:30
Le FC Martigny, en 1re ligue, doit toujours éviter les contacts et les groupes trop importants.

Les sports collectifs, depuis le 1er mars, ne sont plus égaux devant la pandémie. Les uns peuvent reprendre ou poursuivre la compétition, d’autres s’entraînent de nouveau normalement, sans la moindre restriction. Et il y a ceux qui ne sont toujours pas autorisés à organiser des séances collectives avec contacts.

En LNC, des joueurs s’investissent comme des semi-professionnels. En particulier à Swiss Tennis et dans les académies.
Jean-Yves Rechenmann, capitaine du TC Monthey LNC

En tennis, par exemple, les équipes interclubs de LNA, LNB et LNC ont été reconnues comme semi-professionnelles malgré un championnat extrêmement court – entre quatre et six matchs, généralement –, des budgets dérisoires et peu d’entraînements collectifs. «Le tennis est d’abord un sport individuel», rappelle Jean-Yves Rechenmann, capitaine du TC Monthey en LNC masculine. «D’ailleurs, nos joueurs s’entraînent la plupart du temps chacun de leur côté. En LNC, il y a toutefois des joueurs classés N...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias