«Ce semi-confinement aura montré que la relation humaine est importante et qu’il y a un besoin chez les paroissiens d’un contact direct», s’exclame l’abbé Félicien Roux, de la paroisse de Nendaz. Pour lui, comme pour les autres curés du canton, ces deux derniers mois n’auront pas toujours été simples à vivre. «Le plus difficile, c’était de ne pas pouvoir toucher la main de nos fidèles, particulièrement lors des enterrements où les personnes ont besoin de chaleur humaine», précise-t-il.
Plus de monde sur le Net qu’à l’église
Comme dans d’autres paroisses, celle de Nendaz a gardé des liens avec ses fidèles en diffusant notamment des messes sur une chaîne YouTube créée pour l’occasion. «Nous avons la chance d’avoir dans la paroisse un homme doué en informatique, sinon on n’aurait rien pu faire», ajoute l’abbé Roux.
Il a même été agréablement surpris par le nombre d’internautes qui ont...