Comme d’autres restaurateurs du canton, Fabrice Métrailler a cru dans un premier temps devoir fermer dès mardi. Contacté, il préparait déjà, encore sous le coup de l’émotion, des cartes à l’emporter dans son bureau. Mais le Valais échappe à la mesure nationale. Grâce à son taux de reproduction du virus qui frôle le fatidique «1» mais ne l’atteint pas.
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«Je suis surpris en bien parce qu’on peut continuer à travailler, même s’il faut encore le faire avec cette épée de Damoclès sur la tête», réagit le patron de la Taverne à Evolène. «Ça aurait été compliqué pour nous de fermer une troisième fois cette année.»
Depuis les annonces du Conseil fédéral de ce vendredi, ce n’est plus le spectre de...