La crise sanitaire est globale mais elle a affecté très durement les milieux culturels. Un an après le premier semi-confinement, «Le Nouvelliste» ose un regard rétrospectif via une série en trois volets. Se tourner vers hier pour tenter de discerner ce que sera la culture demain.
«Je n’étais pas du tout préparé à vivre ça. C’est comme se prendre un mur de face à 100 kilomètres heures.» Jeune artiste en pleine ascension, notre témoin a littéralement été submergé par les deux vagues de coronavirus qui ont coupé net son élan prometteur. Aujourd’hui, un an après le premier confinement, il a décidé de tourner – momentanément du moins – le dos à sa pratique artistique. «C’est un choix radical mais mûrement réfléchi», explique celui qui a préféré garder l’anonymat.
Changer de vie, peu d’acteurs culturels valaisans y sont pourtant résolus. Malgré les dernières annonces du Conseil...