Les patrons et dirigeants de société, tout comme leurs associés avec signatures agréées, n’ont pas droit au chômage technique pour l’instant. Ils ne peuvent pas inscrire leurs apprentis non plus. L’Union des indépendants (UDI) a tiré la sonnette d’alarme mercredi. La crise liée au coronavirus pourrait provoquer un manque à gagner d’un demi-milliard pour l’économie valaisanne. De quoi menacer la pérennité de nombreuses PME, malgré les dernières mesures de la Confédération, notamment l’assurance d’obtenir des indemnités de pertes de gain, et l’annonce du Conseil d’Etat d’élaborer un programme cantonal d’indemnisation complémentaire.
Tiraillés par l’angoisse, les indépendants que nous avons contactés comptent sur une aide concrète et rapide des autorités.
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Julien Brändli, restaurant Le Foyer à Sierre
Egalement patron de la brasserie des 5 quatre mille, Julien Brändli s’occupe de sa production de bières en attendant la fin...