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Coronavirus et examens: la souplesse des universités en question

Jusqu’où les universités doivent-elles adapter leurs évaluations au contexte de la pandémie? Débat entre une étudiante de Saxon et un étudiant de Vex.

24 avr. 2020, 12:00
Alicia Reuse est étudiante en médecine à Fribourg. Jonas Follonier, en philosophie et littérature française à Neuchâtel.

Les universités romandes adaptent leurs examens à la crise du coronavirus. A part à Fribourg qui gérera les situations particulières au cas par cas, les échecs de la session d’été ne porteront exceptionnellement pas à conséquence. Un régime particulier qui ne suffit pas à combler certains syndicats d’étudiants, qui demandent que les examens soient réputés réussis, sans que les candidats n’aient à les passer.

Qualité de l’enseignement moindre

«Ridicule monde académique, tu me fais pitié!» Sur le site du média Bon pour la tête, l’étudiant de Vex en philosophie et en littérature française Jonas Follonier défend que le milieu universitaire subit de manière plutôt limitée les effets de la pandémie. «Les cours sont maintenus par vidéo. Et avec le confinement, pas de sorties, pas d’apéros, du chômage pour certains; autrement dit, plus d’excuse pour étudier.»

Sur les réseaux sociaux, la prise de position...

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