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Coronavirus et 3e dose de vaccin: «La Suisse ne peut pas attendre une flambée des cas pour réagir»

Administrer une troisième dose? Philippe Eggimann, président de la Société de médecine de Suisse romande, invite à presser le pas, étude à l’appui. Mais l’autorisation de Berne manque. Notre interview.

20 oct. 2021, 00:01 / Màj. le 20 oct. 2021 à 06:53
Philippe Eggiman appelle à démarrer la campagne pour la 3e dose du vaccin contre le Covid-19 sans tarder.

Prêter une troisième fois son épaule à une piqûre contre le Covid-19? Jugée inutile à la mi-septembre, une troisième dose de vaccin Pfizer ou Moderna est de moins en moins exclue. Même si les hospitalisations restent à bas niveau, les perspectives épidémiologiques pour les semaines à venir ne sont pas au beau fixe. Selon Philippe Eggimann, président de la Société de médecine de Suisse romande (SMSR), il faut faire démarrer la campagne pour la troisième dose sans tarder.

A lire aussi: Coronavirus: la 3e dose de vaccin bientôt validée en Suisse?

Philippe Eggimann, chaque fois que l’on parle de la troisième dose de vaccin, Swissmedic rappelle qu’il lui incombe de donner le feu vert. Cela vous énerve?

Je crois qu’on joue avec les mots. Je ne comprends pas cet attentisme. Que change une troisième dose du point de vue de la toxicité et des risques? Je ne vois objectivement...

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