Les négociations autour de l’ouverture des stations de ski touchent à leur fin et une communication de la Confédération est prévue vendredi. Alors, ouverture il y aura si les conditions sanitaires le permettent, mais les conditions seront strictes. «Il faut être clair, on pourra sans doute manger, dormir et skier mais à des conditions très strictes», explique Christophe Darbellay. «Il n’y aura pas d’après-ski, pas de vie nocturne.»
Selon lui, la décision autrichienne tombée jeudi d’ouvrir son domaine skiable à 50% de sa capacité et de fermer les bars et restaurants en station renforce la pression qu’exerce l’Europe sur la Suisse, l’un des seuls pays qui souhaite ouvrir ses pistes.
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Au cœur des négociations entre Berne et les cantons alpins depuis plusieurs semaines, il y a eu les «masques, les files d’attente, l’après-ski, les conditions...