«Si nous avions déniché d’autres candidats, je ne siégerais certainement pas à l’exécutif aujourd’hui.» Jean-Claude Quarroz préside depuis huit ans la section PDC de Saint-Martin. En automne 2016, il acceptait d’enfiler une casquette supplémentaire au sein de son parti en embrassant la fonction de conseiller. Par passion de la chose publique, mais aussi faute de volontaires dans la commune.
«Cette année-là, le PDC avait remporté cinq des sept sièges. Comme nous n’avions présenté que quatre candidats, il revenait aux parrains de liste de désigner un cinquième représentant. Malgré des recherches massives sur toute la commune, nous n’y étions pas parvenus. Je me suis donc porté volontaire.»
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Moins de candidats que de sièges en jeu
Cet exemple témoigne de la difficulté toujours plus grande que rencontrent certaines communes valaisannes à susciter des vocations politiques au sein de la population. En...