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Le Conseil général, ami ou ennemi de l’exécutif?

Les deux pouvoirs savent-ils cohabiter au niveau communal? Le législatif est-il entendu par l’exécutif? Oui, disent les conseillers généraux. Mais pas d’une seule voix. En témoignent les cas d’Ayent et de Martigny.

11 févr. 2020, 20:05
Le Conseil général, ami ou ennemi de l'exécutif? Le regard de Casal.

C’est le premier échelon de la politique communale. Celui que les politiciens en devenir veulent rapidement gravir. Celui qui permet à des citoyens impliqués de prendre un peu de hauteur. C’est la première marche du pouvoir.

Le Conseil général, ce législatif où siègent entre 30 et 60 élus selon les municipalités, se substitue aux assemblées primaires pour incarner la voix populaire dans onze communes du Valais romand. Pour la porter devant l’exécutif. Avec plus ou moins de succès. Il se mesure à l’entente entre les deux pouvoirs.

Et, à en croire les différents présidents de municipalités et leurs homologues du législatif, la cohabitation est globalement bonne. Sans être paisible.

Plusieurs conseillers généraux voudraient avoir le rôle de mini-conseillers communaux.
Jean-Pierre Terretaz, président du Conseil général de Martigny

Plus de poids

«La collaboration avec l’exécutif se passe bien, même si certains conseillers généraux veulent toujours plus de prérogatives», relève Claire-Lise...

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