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Finale nationale de la race d’Hérens: la passion des vaches plutôt que la chasse aux voix

Les élus ou candidats venus assister ce dimanche à la finale nationale de la race d’Hérens affirment que s’ils ont rallié Pra Bardy c’est bien par passion pour les reines et pas du tout pour faire campagne.

05 mai 2019, 19:00
Rencontre de politiciens autour de l'arène de Pra Bardy. Le conseiller national Benjamin Roduit salue le député Benoît Bender.

La finale nationale de la race d’Hérens est-elle un passage obligé pour tout politicien surtout en année d’élections fédérales? En principe oui, mais cette année, il fallait faire des choix entre les différentes manifestations dans le canton. Alors ils étaient peu d’élus et candidats qui n’avaient pas d’engagement ailleurs dans un festival de fanfare ou une fête de chant à répondre présent dans les travées de l’arène de Pra Bardy.

Et promis, juré: tous étaient là par amour des reines. «C’est mon cas», avance le conseiller aux Etats Beat Rieder. «D’ailleurs vous avez remarqué que j’assiste aux luttes debout, avec le peuple.» Au côté du président de la Fédération de la race d’Hérens, Dominik Pfammatter, l’élu du PDC aime rappeler son passé paysan. «Mon père était agriculteur et je suis un fidèle du combat du Haut-Valais, organisé à Goler.»

Marathon à travers les manifestations du week-end

En représentation dans d’autres...

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