Après le succès international de «La vérité sur l’affaire Harry Quebert», après le délire médiatique du «Livre des Baltimore», après la série adaptée de son best-seller à découvrir au nouveau festival Canneseries (et plus tard sur TF1), Joël Dicker rempile avec une enquête policière. Les amateurs, et on me dit qu’ils sont nombreux – 3 millions d’exemplaires vendus pour «La vérité sur l’affaire Harry Quebert» – feraient mieux de se détourner de cet article, parce que c’est une vraie boucherie.
Ce n’est pas qu’on s’ennuie à la lecture des 640 pages de Joël Dicker. C’est vrai. On peut se distrair...