L'Angleterre, le foot, la musique, les skins... Voilà les éléments qui constituent le monde de John King, " le premier chroniqueur, le chantre, des sous-cultures les plus lumpen d'Angleterre ", selon le journal "The Telegraph".
Tel un Dickens en Doc Martens, l'auteur du célèbre "Football Factory" continue, entre pub, stade et baston, d'explorer sa veine naturaliste et popu. Il vient de publier "Skinheads", un septième roman à la fois clanique et tribal, familial et social qui, sur le fond, relève du conte de fées au royaume skin (Skingdom!). Un conte de fées urbain où les princes charmants ont la boule à zéro et conduisent des taxis. Où les filles portent des minijupes en vinyle et des bas résille. Où un vieux club (re)devient une caverne merveilleuse où la bière et le rock coulent à flots, sous l'étendard de l'Union Jack.
Rencontre avec un barde "So Bristih", toujours rock'n'roll et ardent...