C’est la grosse superproduction à laquelle personne n’échappera: «10 000» («10 000 ans avant Jésus-Christ», comme l’indique mieux le titre américain) est le nouveau joujou du peu fin Roland Emmerich, déjà «coupable», entre autres prouesses, des gros films bêbêtes «Stargate» et «Independance Day».
Cette fois, l’histoire se déroule 10 000 ans avant notre ère, donc, dans un endroit qui ressemble furieusement à l’Egypte, avec des esclaves qui construisent des pyramides. Le jeune chasseur D’Leh aime la belle Evolet, qui est enlevée par une bande de pillards. Il se lance donc à ses trousses, à la tête d’une équipe de chasseurs de mammouths. Ce grand voyage à travers des terres infestées de monstres les emmène dans un pays dominé par un despote sanguinaire. La guerre pour la liberté peut commencer...
Les amateurs d’histoire seront décontenancés: le film mélange allègrement préhistoire, Antiquité, légendes et clichés. Mais le propos d’Emmerich n’est pas de...
Cette fois, l’histoire se déroule 10 000 ans avant notre ère, donc, dans un endroit qui ressemble furieusement à l’Egypte, avec des esclaves qui construisent des pyramides. Le jeune chasseur D’Leh aime la belle Evolet, qui est enlevée par une bande de pillards. Il se lance donc à ses trousses, à la tête d’une équipe de chasseurs de mammouths. Ce grand voyage à travers des terres infestées de monstres les emmène dans un pays dominé par un despote sanguinaire. La guerre pour la liberté peut commencer...
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